J’imagine que bientôt tu auras l’âge où le temps n’importe plus sur l’âge pour autant, car le temps aura à ce moment la valeur des choses qui subsistent bien au-delà de cette quatrième dimension.


Passerons quelques années et tu sauras accorder au temps le temps qu’il faut pour le presser un peu moins, car le temps qui passe se passe bien des choses qui dîtes futiles s’endorment tranquillement.


Je te souhaite, et le souhaite à tous ceux qui rouspètent, de grandir dans un monde qui sera le tien, car il faut faire attention à ces mondes en déclin qui déversent parfois trop fort sur nous leur plein pétrin.


Nul ne connait l’odyssée de ton chemin et tous y accordent une importance néanmoins, mais seule toi es chargée de le mener d’où l’appétence qui te portes même lorsqu’éreintée.

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